“Elle travaille le métal comme d’autres font de la couture.
Elle travaille les tissus comme d’autres font de la sculpture.
Cette femme mélange tout, et de ce big bang sort une foule de personnages hugoliens tombés là d’un livre de Virginie Despentes ou d’un film de Cronenberg : mendiant, prostituée, gueux mais aussi, quand l’humeur est au beau : femme-fleur, belle rousse, hérissonne…
Tout est un théâtre de rêve et de cauchemar sous nos yeux.

On reste hanté par ces personnages
qui sont des bouts de nous-mêmes révélés.”

Extrait de « L’orée de la nuit »
Raphaël Caussimon